un grand paysagiste!
" WORK IN PROGRESS " Films couleurs avec générique (10mn12s) non sonore
Animation montrant le travail d'atelier du peintre Adrian Doura : à chaque session de peinture, une image du tableau puis les images s'enchainent jusqu'à la photographie à la lumière du jour du tableau fini. Ceci avec les dix tableaux de la série "depuis le nid d'un moineau".
" SKYLINE " Films couleurs avec générique (2mn32s) non sonore
Animation montrant les tableaux d'Adrian Doura en situation de son exposition se déconstruisant jusqu'au ciel dessinant la ligne d'horizon. Réalisé avec les images de "work in progress, depuis le nid d'un moineau".
new document comme la matière numérique de base
Le motif de base est crée par ordinateur et assemblé dans une composition montrant les différents raccords possiblent ainsi que les ruptures. Cela me sert alors de base pour la vidéo. Je donne à une image du temps de perception par le recadrage et la répétition d'un motif ayant subit des transformations de miroir et de symétrie. Pour ce motif, il y a quatre possibilités. La vidéo montre la série dont est composé l'image, lu de deux manières différentes avec 2 ordres de lecture pour la séquence des 32 images : Une séquence enchaine les images du motif horizontalement et l'autre, verticalement. Il y a de multiples ordres possibles et le but pourrait être de les représenter tous mais j'ai juste voulut montrer une différence. Les deux séquences sont mise en boucle dix fois,( ce qui donne un film de 25 secondes et 15 images en vidéo pal ) pour faire tourner en boucle sur un lecteur dvd avec la fonction repeat repeat repeat repeat repeat repeat repeat repeat...
new document comme la matière numérique de base
Expérience visuelle et sonore où tout est créé par l'ordinateur et ses logiciels, sans introduire de données extérieurs. Pour cela, je commence par créer une séquence de cent images homogènes où des couleurs de remplissage et des lignes vectorielles se déplacent de façon subjective. J'y applique des filtres Photoshop puis j'étire la séquence en fondu d'images dans le temps et réaplique d'autres filtres puis recommence ainsi de suite jusqu'à obtenir une séquence de quatre milles cinq cent images (trois minutes à 25 images par seconde), absorbant et effaçant totalement ce qu'était les images de base. Le film est donc créé image par image,dans le sens où elles sont toutes indépendantes avec une uniformité. On peut dire que l'esthétique et le mouvement sont au final le reflet du mixage de tous les filtres. Dans le temps, cela crée une image toujours pareil mais pourtant à chaque instant différente... une variation sur le même thème. La bande son, basée sur les sons MF (tonalités standars du téléphone) générés par l'ordinateur, est mixée aléatoirement plusieurs fois jusqu'à obtenir une matière sonore continue. Enfin, ce son et ces images sont assemblés en film, proposant ainsi un voyage dans la "substance numérique".
new document comme la matière numérique de base
La première phase du travail consiste à réunir une variété d'images (ici, des textures de nature ou de matière, choisies arbitrairement pour leur aspect esthétique) aux couleurs multicolors ou monochromatiques, à motifs répétés ou linéaires ; de les ordonner de manière à créer du contraste de forme ou de couleur, puis de les lier par morphing pour passer d'une image à une autre ou bien de défomer une image avec elle-même, afin de créer de nouvelles images où apparaisent des fondus de couleurs et de formes. Puis l'assemblage ordonné, mis bout à bout, me donne une séquence d'images avec une palette infinie de couleurs et de formes abstraites.
La seconde phase numérique consite à homogénéiser ces images avec les fitres Photoshop. En partant d'une image, cela permet de la métamorphoser en lui donnant, à chaque passage de filtre, une forme nouvelle jusqu'à ce que, après de multiples transformations, cela aboutisse à une esthétique qui convienne d'expérimenter sur l'entière séquence d'images.
Je me suis limité à environs 1000 images à raison de plusieurs ensembles de 25 images (une seconde vidéo) pour les morphings, déformations, distorsions des images de base. Dans mes 6 "Abstraction cinétique" , j'ai donc créer 6 groupes de filtres que j'ai appliqués à la même séquence, dont j'ai rajouté un compte à rebourg. Les séquences sont converties en film vidéo avec le titre et ma signature. La vidéo projection permet de faire une bonne expérience visuelle de cette matière virtuelle en mouvement.
un moment créatif avec dud!
projeté avec quatre musiciens qui jouent en live une polyphonie basé sur les rythmes de 3 temps, 5 temps, 7 temps, 9 temps. Les images sont séparées en quatre ( le fond, le cadre, les objects, le feu ), et s'animent chacun dans les différents temps de la mesure.
une pensée pour mon ami fafa
à 25 images par seconde, 10000i=6mn40s
En l'occurence, l'image de départ est la photo d'une sérigraphie créée par Andy Warhol dans sa série des "marilyn" , elle-même créée à partir de la photograhie publicitaire noir et blanc prise par Gene Kornman en 1953 pour le film "Niagara" où jouait Marilyn Monroe.
Dans mon procèssus de création, je commence par recréer les masques de couleurs pour :
les yeux -
le maquillage -
les lèvres -
les dents -
la peau du visage -
les cheveux -
le col -
les boucles d'oreilles -
le fond.
Une fois les limites aux couleurs définit, je réalise une variation de couleurs aléatoires. Le cadre de la vidéo symbolise un photogramme de pellicule cinématographique que j'utilise comme palette de couleurs, avec le décompte-compte des 10 000 images. A gauche se trouvent les couleurs de base de l'impression, et à droite, les même couleurs additives de la lumière. Sur l'image, un balayage circulaire tournant dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (afin de biffer l'attemporalité et l'inalterrabilité du virtuel), laisse toujours transparaître une partie de l'image de base, qui varie de la couleur au noir et blanc par la désaturation. La bande son est créée d'après un sample de la chanson de Marilyn Monroe, "I want to be loved by you", qui est mise en boucle et scratché à répétition tel un disque rayé.